Bilan de l'AG du 7 novembre 2007
*En amphi C du Tertre*
Bureau : (SUD)
(CNT)
non syndiqué
non syndiqué
-Bureau voté-
Débat sur les médias (un caméraman est présent) la commission média s'appui sur une décision précédente, qui inclue le fait de virer les caméras. Proposition de voter le fait de permettre aux caméras, et après de discuter de la commission média. Le président re-propose d'appliquer la décision précédente (ils sont autorisés à faire des plans plus larges à condition de partir ensuite)
-Proposition acceptée-
Un étudiant proposait un point info : Loi refusée
*Déplacement en amphi D de Droit*
1-Bilan de la mobilisation
# Paris : Clignancourt, Tolbiac, Jussieu : bloqués
Sorbonne occupée et évacuée.
# Toulouse II, Tours, Rouen, Rennes II, Caen, Lille III, Aix-Marseille, Tolbiac, ...
La mobilisation grandit, même les médias en parlent.
Un étudiant rappelle que la répression commence elle aussi. Un autre répond que la police intervient quand il y a un blocus parce que c'est interdit.
Quelqu'un demande un bilan de la délégation locale au CA d'il y a quelques temps. Un membre étudiant du CA dit que ça a fait chou blanc (pas de journée banalisée, pas de position). Un membre du CA répond que le CA s'est déjà prononcé le 06 juillet.
2-Perspectives locales
Un étudiant dit que le blocus est un moyen de lutte indispensable pour permettre aux étudiant-e-s de se mobiliser mais peut prendre plusieurs formes car cela permet de poser des perspectives, de voir ce que l'on veut. un étudiant répond que chacun fait ce qu'il veut mais qu'il ne faut pas empêcher les autres de travailler. De plus, un autre dit que c'est une réforme votée par la présidentielle et donc qu'elle doit être appliquée. Un étudiant répond que le blocus permet de travailler et qu'il ne s'agit en aucun cas de "glander". Que ce n'est pas par plaisir mais que c'est indispensable pour ne pas sacrifier ses cours. De plus, que les bourses ne sont pas enlevées. Il est répondu que la démocratie n'est pas juste un vote tout les 5 ans. Que la question est de savoir si la loi correspond à ce que l'on veut. Que le blocus est un outil, qu'il ne s'agit pas d'être "pour ou contre" mais de savoir si ça marche. Et que dès que l'on commence, ça marche. Un autre répond que c'est une question d'être individualiste ou pas. Que l'on a pas le temps de réfléchir et qu'il s'agit de se donner ce temps. Et puis d'abord, les pauvres ont voté pour les riches. On y rajoute qu'il s'agit de prendre sur soi pour se mobiliser. Quelqu'un rétorque que l'on ne doit pas imposer aux personnes d'être privées de la connaissance qu'il est venu pour acquérir.
Un étudiant dit que l'on a jamais rien obtenu légalement. Et puis, la démocratie oui, mais la démocratie directe. Quelqu'un pose la question : "Qu'est-ce qu'on peut d'autre que le blocus ?". Il faut trouver d'autres moyens d'action. Une étudiante ajoute qu'il faut aller vers le blocus pour passer un saut dans la mobilisation. Elle pense que se serait intéressant d'appeler à la manifestation demain mais que le blocus est indispensable pour le pouvoir.
On y répond que le blocus n'est pas démocratique. Que l'on prend les gens en otage.
Un étudiant définit la grève comme un blocage. Qu'être contre la grève c'est être contre le blocus et vice-versa. Qu'il ne faut pas que l'on hésite. "J'ai pas envie d'apprendre à gérer ce monde".
Un étudiant compare le mouvement au gouvernement. Il impose : nous bloquons. Un étudiant en LEA dit que dans sa filière il y a une psychose du blocus sans que cela ne soit concret. Une personne parle des universités nord-américaine qui sont autonomes, compétitives, inégales et très chers.
Un étudiant ajoute qu'en général c'est une lutte pour l'éducation nationale. Qu'il est pour le blocus, mais pas un blocus passif. "Il faut que ça saigne".
Un autre s'exclame "Il faut prendre ses responsabilités : vous allez en chier".
Une lycéenne pendant le CPE dit que les manifestations toutes simples ne servent à rien. Qu'il faut arrêter avec le G8.
Un étudiant dit qu'il faut être conscient qu'avant de parler du blocus on avancait pas. Que si on ne le vote pas, on avancera à rien, que c'est la seule option.
Une personne dit qu'il est important de discuter pour pouvoir se battre largement. Quelqu'un ajoute que la BU n'est pas bloquée et par conséquence on peut continuer à y travailler.
Quelqu'un précise que l'on est entrain de construire une mobilisation et que le débat porte sur un moyen de se faire entendre.
Quelqu'un répond à une intervention précédente sur le fait de trouver d'autres moyens mais que cela ne veut jamais dire "on va les trouver", cela veut dire "ne nous embêtés pas". Il précise que l'on s'affronte avec le gouvernement et que cela s'appelle un rapport de force.
Quelqu'un se souvient du CPE et que les manifestations du début ne servaient à rien, que ce n'est qu'à partir du blocus que ça a avancé. Et que lutter contre cette loi ne veut pas dire être pour l'université actuelle.
On remarque qu'il faut des filières en phase avec le marché de demain et que c'est ça qu'il faut réformer. Que cette mobilisation est juste un écran pour agir contre le gouvernement.
Un étudiant répond qu'il s'agit de s'imposer quelque chose de chiant pour obtenir un truc meilleur.
Quelqu'un dit avec humour que "élire un gouvernement ce n'est pas signer un chèque en blanc".
On remarque que l'on est pas là pour parler du gouvernement mais de l'université. Que l'on s'est battu pour notre avenir (CPE) mais que maintenant il s'agit de se battre pour notre présent.
Quelqu'un pense que les IUT et BTS suffisent et qu'il ne faut pas généraliser ça à toutes les facs et que le blocus est nécessaire.
Quelqu'un dit qu'il aimerait bien voir les gens "contre la loi" et "contre le blocus" car les actions ne se font pas toutes seules. Qu'il n'y a pas besoin de professeur pour avoir un diplôme.
Quelqu'un interroge sur le blocus en lettres seulement. Que l'on peut voter les blocus séparement.
Quelqu'un rappelle qu'il est possible de faire retirer une loi comme pour le CPE. De plus, le cadre général est important et que c'est le bon moment car d'autres gens sont en grève.
Quelqu'un ajoute que la grève c'est un blocage. Qu'on ne fait pas de grève sans géner les gens. Que l'on s'éduque pour gérer cette société. Que la sélection sociale a déjà joué et que l'on en veut pas. Que la démocratie n'est pas le vote. "Finissons le travail de 68, comme disait ma Grand-mère".
Quelqu'un prévient que les bâtiments sont en majorité fermés administrativement.
Une étudiante est contre le blocus et se mobilise contre la loi. Elle propose de concentrer les manifestations.
Un étudiant dit que le blocus doit être fait par fac, par les étudiants concernés.
Quelqu'un rappelle encore que la BU fonctionne même pendant le blocage, et que pour un boursier actif, le blocage est nécessaire.
Quelqu'un crie "on arrête et on cause de savoir ce que l'on vote".
Il est proposé de parler des modalités.
Le président propose que l'on vote globalement et que les AG décident bâtiment par bâtiment le vote du blocus.
Il rappelle qu'un bonnet circule pour récupérer des fonds afin de financer le mouvement.
Quelqu'un dit que la démocratie directe ne fonctionne que si les gens concernés votent.
Quelqu'un répond que c'est une question de principe de voter fac par fac.
Un étudiant rétorque que cela n'aurait aucune légitimité et que cela ne rimerait à rien de voter en droit étant donné que les étudiants ne s'y sentent pas concernés.
Quelqu'un accuse d'autres étudiants de manipulation.
Un autre rappelle l'intérêt d'être actif après avoir voté un blocus.
Quelqu'un fait remarquer qu'à la réunion d'information en droit il n'y avait que 4 personnes.
Quelqu'un de droit appelle ses compagnons à se bouger pour y lancer un mouvement spécifique au droit.
Quelqu'un lance "c'est bizarre de se battre contre l'autonomie en fonctionnant de manière autonome".
Une étudiante propose que l'on vote par site et non pas par UFR.
Un étudiant propose de faire un vote pour l'ensemble et ensuite par site si cela n'a pas été accepté.
-VOTE POUR UN VOTE POUR L'ENSEMBLE DE LA FAC-
Pour : 177
Contre : 410
Abstention : 33
La proposition n'est pas acceptée.
-VOTE POUR UN BLOCUS EN LETTRES ET SCIENCES HUMAINES-
NPPV : 100
Abstention : 20
Contre : 89
Pour : le reste
Ensuite un appel a été fait pour que tout le monde se mobilise et bloque la censive, le tertre et le CIL.
Un commentaire a été fait sur cet article :
Warda a dit :
Ah ça bloque ? On vous prend aux mots. Vous recrutez les " mercenaires, les pirates, les racailles ", les gens " qui ne croient plus en rien ", qui veulent que du fric ou de la " lumière ". Passez une annonce dans le journal pour solliciter le soutien de l'application du blocus. Les croyants ne pas toujours ceux qu'ont croient... Perso je suis motiv pour balancer la caillasse sur la fac privée Audencia. Ils me font bien rire ces étudiants !!! Qui nous prennent de haut mais qui " font dans le pantalon " dès que ya 2 militants ki diffent des tracts pour annoncer le film SAMIDOUN - Nos racines sont toujours vivantes des Salingue... Souviens toi Antoine... Il était pas risible ce tiot étudiant ki invitait Pascal Boniface il me semble. Risible voir pitoyable !!!
Bureau : (SUD)
(CNT)
non syndiqué
non syndiqué
-Bureau voté-
Débat sur les médias (un caméraman est présent) la commission média s'appui sur une décision précédente, qui inclue le fait de virer les caméras. Proposition de voter le fait de permettre aux caméras, et après de discuter de la commission média. Le président re-propose d'appliquer la décision précédente (ils sont autorisés à faire des plans plus larges à condition de partir ensuite)
-Proposition acceptée-
Un étudiant proposait un point info : Loi refusée
*Déplacement en amphi D de Droit*
1-Bilan de la mobilisation
# Paris : Clignancourt, Tolbiac, Jussieu : bloqués
Sorbonne occupée et évacuée.
# Toulouse II, Tours, Rouen, Rennes II, Caen, Lille III, Aix-Marseille, Tolbiac, ...
La mobilisation grandit, même les médias en parlent.
Un étudiant rappelle que la répression commence elle aussi. Un autre répond que la police intervient quand il y a un blocus parce que c'est interdit.
Quelqu'un demande un bilan de la délégation locale au CA d'il y a quelques temps. Un membre étudiant du CA dit que ça a fait chou blanc (pas de journée banalisée, pas de position). Un membre du CA répond que le CA s'est déjà prononcé le 06 juillet.
2-Perspectives locales
Un étudiant dit que le blocus est un moyen de lutte indispensable pour permettre aux étudiant-e-s de se mobiliser mais peut prendre plusieurs formes car cela permet de poser des perspectives, de voir ce que l'on veut. un étudiant répond que chacun fait ce qu'il veut mais qu'il ne faut pas empêcher les autres de travailler. De plus, un autre dit que c'est une réforme votée par la présidentielle et donc qu'elle doit être appliquée. Un étudiant répond que le blocus permet de travailler et qu'il ne s'agit en aucun cas de "glander". Que ce n'est pas par plaisir mais que c'est indispensable pour ne pas sacrifier ses cours. De plus, que les bourses ne sont pas enlevées. Il est répondu que la démocratie n'est pas juste un vote tout les 5 ans. Que la question est de savoir si la loi correspond à ce que l'on veut. Que le blocus est un outil, qu'il ne s'agit pas d'être "pour ou contre" mais de savoir si ça marche. Et que dès que l'on commence, ça marche. Un autre répond que c'est une question d'être individualiste ou pas. Que l'on a pas le temps de réfléchir et qu'il s'agit de se donner ce temps. Et puis d'abord, les pauvres ont voté pour les riches. On y rajoute qu'il s'agit de prendre sur soi pour se mobiliser. Quelqu'un rétorque que l'on ne doit pas imposer aux personnes d'être privées de la connaissance qu'il est venu pour acquérir.
Un étudiant dit que l'on a jamais rien obtenu légalement. Et puis, la démocratie oui, mais la démocratie directe. Quelqu'un pose la question : "Qu'est-ce qu'on peut d'autre que le blocus ?". Il faut trouver d'autres moyens d'action. Une étudiante ajoute qu'il faut aller vers le blocus pour passer un saut dans la mobilisation. Elle pense que se serait intéressant d'appeler à la manifestation demain mais que le blocus est indispensable pour le pouvoir.
On y répond que le blocus n'est pas démocratique. Que l'on prend les gens en otage.
Un étudiant définit la grève comme un blocage. Qu'être contre la grève c'est être contre le blocus et vice-versa. Qu'il ne faut pas que l'on hésite. "J'ai pas envie d'apprendre à gérer ce monde".
Un étudiant compare le mouvement au gouvernement. Il impose : nous bloquons. Un étudiant en LEA dit que dans sa filière il y a une psychose du blocus sans que cela ne soit concret. Une personne parle des universités nord-américaine qui sont autonomes, compétitives, inégales et très chers.
Un étudiant ajoute qu'en général c'est une lutte pour l'éducation nationale. Qu'il est pour le blocus, mais pas un blocus passif. "Il faut que ça saigne".
Un autre s'exclame "Il faut prendre ses responsabilités : vous allez en chier".
Une lycéenne pendant le CPE dit que les manifestations toutes simples ne servent à rien. Qu'il faut arrêter avec le G8.
Un étudiant dit qu'il faut être conscient qu'avant de parler du blocus on avancait pas. Que si on ne le vote pas, on avancera à rien, que c'est la seule option.
Une personne dit qu'il est important de discuter pour pouvoir se battre largement. Quelqu'un ajoute que la BU n'est pas bloquée et par conséquence on peut continuer à y travailler.
Quelqu'un précise que l'on est entrain de construire une mobilisation et que le débat porte sur un moyen de se faire entendre.
Quelqu'un répond à une intervention précédente sur le fait de trouver d'autres moyens mais que cela ne veut jamais dire "on va les trouver", cela veut dire "ne nous embêtés pas". Il précise que l'on s'affronte avec le gouvernement et que cela s'appelle un rapport de force.
Quelqu'un se souvient du CPE et que les manifestations du début ne servaient à rien, que ce n'est qu'à partir du blocus que ça a avancé. Et que lutter contre cette loi ne veut pas dire être pour l'université actuelle.
On remarque qu'il faut des filières en phase avec le marché de demain et que c'est ça qu'il faut réformer. Que cette mobilisation est juste un écran pour agir contre le gouvernement.
Un étudiant répond qu'il s'agit de s'imposer quelque chose de chiant pour obtenir un truc meilleur.
Quelqu'un dit avec humour que "élire un gouvernement ce n'est pas signer un chèque en blanc".
On remarque que l'on est pas là pour parler du gouvernement mais de l'université. Que l'on s'est battu pour notre avenir (CPE) mais que maintenant il s'agit de se battre pour notre présent.
Quelqu'un pense que les IUT et BTS suffisent et qu'il ne faut pas généraliser ça à toutes les facs et que le blocus est nécessaire.
Quelqu'un dit qu'il aimerait bien voir les gens "contre la loi" et "contre le blocus" car les actions ne se font pas toutes seules. Qu'il n'y a pas besoin de professeur pour avoir un diplôme.
Quelqu'un interroge sur le blocus en lettres seulement. Que l'on peut voter les blocus séparement.
Quelqu'un rappelle qu'il est possible de faire retirer une loi comme pour le CPE. De plus, le cadre général est important et que c'est le bon moment car d'autres gens sont en grève.
Quelqu'un ajoute que la grève c'est un blocage. Qu'on ne fait pas de grève sans géner les gens. Que l'on s'éduque pour gérer cette société. Que la sélection sociale a déjà joué et que l'on en veut pas. Que la démocratie n'est pas le vote. "Finissons le travail de 68, comme disait ma Grand-mère".
Quelqu'un prévient que les bâtiments sont en majorité fermés administrativement.
Une étudiante est contre le blocus et se mobilise contre la loi. Elle propose de concentrer les manifestations.
Un étudiant dit que le blocus doit être fait par fac, par les étudiants concernés.
Quelqu'un rappelle encore que la BU fonctionne même pendant le blocage, et que pour un boursier actif, le blocage est nécessaire.
Quelqu'un crie "on arrête et on cause de savoir ce que l'on vote".
Il est proposé de parler des modalités.
Le président propose que l'on vote globalement et que les AG décident bâtiment par bâtiment le vote du blocus.
Il rappelle qu'un bonnet circule pour récupérer des fonds afin de financer le mouvement.
Quelqu'un dit que la démocratie directe ne fonctionne que si les gens concernés votent.
Quelqu'un répond que c'est une question de principe de voter fac par fac.
Un étudiant rétorque que cela n'aurait aucune légitimité et que cela ne rimerait à rien de voter en droit étant donné que les étudiants ne s'y sentent pas concernés.
Quelqu'un accuse d'autres étudiants de manipulation.
Un autre rappelle l'intérêt d'être actif après avoir voté un blocus.
Quelqu'un fait remarquer qu'à la réunion d'information en droit il n'y avait que 4 personnes.
Quelqu'un de droit appelle ses compagnons à se bouger pour y lancer un mouvement spécifique au droit.
Quelqu'un lance "c'est bizarre de se battre contre l'autonomie en fonctionnant de manière autonome".
Une étudiante propose que l'on vote par site et non pas par UFR.
Un étudiant propose de faire un vote pour l'ensemble et ensuite par site si cela n'a pas été accepté.
-VOTE POUR UN VOTE POUR L'ENSEMBLE DE LA FAC-
Pour : 177
Contre : 410
Abstention : 33
La proposition n'est pas acceptée.
-VOTE POUR UN BLOCUS EN LETTRES ET SCIENCES HUMAINES-
NPPV : 100
Abstention : 20
Contre : 89
Pour : le reste
Ensuite un appel a été fait pour que tout le monde se mobilise et bloque la censive, le tertre et le CIL.
Un commentaire a été fait sur cet article :
Warda a dit :
Ah ça bloque ? On vous prend aux mots. Vous recrutez les " mercenaires, les pirates, les racailles ", les gens " qui ne croient plus en rien ", qui veulent que du fric ou de la " lumière ". Passez une annonce dans le journal pour solliciter le soutien de l'application du blocus. Les croyants ne pas toujours ceux qu'ont croient... Perso je suis motiv pour balancer la caillasse sur la fac privée Audencia. Ils me font bien rire ces étudiants !!! Qui nous prennent de haut mais qui " font dans le pantalon " dès que ya 2 militants ki diffent des tracts pour annoncer le film SAMIDOUN - Nos racines sont toujours vivantes des Salingue... Souviens toi Antoine... Il était pas risible ce tiot étudiant ki invitait Pascal Boniface il me semble. Risible voir pitoyable !!!